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Voyage français
3 août 2018

A mon retour à Rijeka

Je vais écrire des bateaux. Depuis que je suis arrivée à Rijeka, je suis émerveillée en regardant les bateaux.

Rien d’étonnant, cela fait longtemps que je ne les voyais pas, cela fait longtemps que je ne pouvais pas les regarder.

Quand je suis arrivée à Rijeka, la première chose qui m’a ravie c’était le port, la mer, les bateaux.

A un moment donné, j’ai remarqué la montagne (en la voyant du port de Rijeka)

A un moment donné, de mon balcon, j’ai remarqué les versants de la montagne baignés de soleil (le soleil les illumine, le jeu de clair-obscur)  

Rijeka comme si c’est un port qui ne l’est pas. Un port vétuste. Il fascino del vecchiotto. Tout cela a été bâti bien avant nous par quelqu’un…

Dans ce port, il n’y a pas beaucoup de bateaux mais ils ont l’air d’odysée.

Une scène mythique : la mer et le port dans le brouillard, des grues...une vraie image d’odysée, d’Ulysse.

Des bateaux de pêcheurs sur la jetée tôt le matin lorsqu’ils rentrent de la pêche, accompagnés de leurs amis fidèles : les goëlands.

Lorsqu’il y a le vent de sud, les bateaux sont embaumés de brouillard.

Et lorsque le bateau nous salue par sa sirène ! Sa sirène a le même son que celui qui marque le début de l’émission radio la soirée de marins.

A part les grand bateaux, dans le golfe de Rijeka il y a aussi de petits bateaux de pêcheurs qu’on peut voir le matin ou au crépuscule. On peut discerner le pont de Krk. Voir le port qui dort. Des grues du chantier naval. La presqu’ile d’Istrie.

Qu’elle est belle, Rijeka ! Ces petites maisons aux jardins, des convolvulus violets qu’on peut voir encore à côté de l’église San Nicolo’.

Comme une Rijeka d’antan, ancienne. Ici poussent des agaves, menthe sauvage, romarin, lavande.

Le vent de sud sur la promenade au bord de la mer. Ce matin-là il y avait des averses, les ruisseaux sont apparus, ils se sont versées à la mer, tels de vrais geysirs, toute cette eau qui coule de l’Ucka à la mer, la couleur de mer marron, vert-clair et bleu.

Le vent de sud, préféré des geëlands.Ils tracent par leur vol ses lignes invisibles dans l’air.

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